Ces paysages imaginaires sont l’aboutissement du voyage parfait. Celui du photographe de nature en quête de la photographie parfaite. Mais ici, enfin, le repos. Ma perfection à moi est atteinte, plus besoin d’aller plus loin, plus besoin de copie obsessionnelle et répétitive. Plus de nausée. Le voyage s’arrête, la quête reprend sens. Alors, c’est vrai, j’ai poussé le maquillage à l’extrême. J’ai embelli un monde imparfait par un imaginaire au niveau de mes exigences. Mais je ne me suis pas trompé d’objectif. L’essentiel d’une bonne photo est l’imaginaire que nous provoquons, l’imaginaire d’un instant qui n’existe plus. L’imaginaire d’un monde… qui n’existe plus.
- Les guépards, 200 x 120 cm.
- Les belles giraffes, 200 x 130 cm
- Elephant Crossing, 200 x 136 cm.
- L’arrêt de Saint-Hilaire, 215 x 160 cm
- Raconte-nous, 140 x 110 cm
- 140 x 100 cm
- The perfect voyage II, 150 x 100 cm
- Le voyage parfait, 180 x 95 cm
- L’affût, 154 x 104 cm
- L’aurore parfaite, 180 x 120 cm
- Jour de pluie parfait, 200 x 160 cm
- Un coin de ciel bleu, 170 x 100 cm
- Le visionnaire, 180 x 114 cm
- Un autre monde parfait, 140 x 95 cm